Dans l’édition du journal de Montréal du 31 juillet 2020, on peut lire un article d’Albert Mondor qui débute comme suit:
» Avec l’étalement urbain effréné, les aliments servant à nourrir les citadins doivent être produits toujours plus loin, à des centaines, voire des milliers de kilomètres de distance de l’endroit où ils sont consommés.
La nourriture doit être transportée jusque dans les villes par avion, par train ou par camion, générant ainsi d’importantes quantités de polluants et de gaz à effet de serre. Selon l’organisme Développement et paix, les aliments qui composent une assiette canadienne typique doivent être transportés en moyenne sur 3000 kilomètres avant d’être mangés. »